Placée sous le thème : « Processus d’intégration de l’agroécologie dans les politiques publiques : enjeux et défis », la conférence virtuelle, tenue ce 18 mars 2021, a consisté à échanger sur les expériences afin de partager les leçons sur la mise en place de politiques agro-écologiques. Il s’est agi également pour les participants issus de plusieurs pays de s’approprier des instruments politiques possibles et les options politiques concrètes pour la prise en compte de l’agro-écologie dans les politiques publiques.

Dans son mot introductif, le Secrétaire général du ministère de l’Agriculture, des Aménagements Hydro-agricoles et de la Mécanisation du Burkina Faso, Dr Lamourdia THIOMBIANO, a indiqué que cette conférence constitue une opportunité pour le Burkina Faso, engagé dans la prise en compte de l’agroécologie dans ses politiques agricoles.

Le correspondant national de l’agroécologie, Adama SAVADOGO, a relevé l’existence de concertations avec les acteurs qui ont défini une vision consistant à faire de l’agroécologie le moteur d’une production agro-sylvo-pastorale écologique, durable, compétitive, créatrice d’emplois et assurant la sécurité alimentaire à l’ensemble de la population. M. SAVADOGO a aussi évoqué l’élaboration en cours de la stratégie nationale de développement de l’agroécologie et de son plan d’actions.

Présentant les résultats d’une évaluation des approches agro-écologiques au Burkina Faso, menée par l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), Eugène RURANGWA, a relevé l’existence d’approches d’agroécologie intégrées incluant entre autres la maîtrise de l’eau agricole, la gestion durable des sols, la lutte contre les ravageurs, la pisciculture hors sols, la pisciculture intégrée au maraichage, l’élevage de la volaille associée à la pisciculture. Et de souligner que le Burkina Faso est un pionnier de l’agro-écologie en Afrique de l’Ouest. M. RURANGWA a aussi mentionné la diversité des définitions de l’agroécologie en fonction des acteurs. Mais, a-t-il précisé, elles se recoupent. Posant le diagnostic de l’agroécologie au Burkina Faso, il a identifié des forces : la volonté politique, le dynamisme et l’engagement de la société civile, le développement de technologies et d’approches par les acteurs à la base. Les faiblesses portent sur l’insuffisance de financement pour la recherche et la mise à l’échelle des actions d’agroécologie. L’étude a recommandé une meilleure organisation des acteurs pour améliorer la concertation et le partage des expériences et l’élaboration participative de la stratégie nationale de développement de l’agroécologie.

Les travaux de la conférence se sont poursuivis par des partages d’expériences et des échanges entre les participants.

Placée sous le thème : « Processus d’intégration de l’agroécologie dans les politiques publiques : enjeux et défis », la conférence virtuelle, tenue ce 18 mars 2021, a consisté à échanger sur les expériences afin de partager les leçons sur la mise en place de politiques agro-écologiques. Il s’est agi également pour les participants issus de plusieurs pays de s’approprier des instruments politiques possibles et les options politiques concrètes pour la prise en compte de l’agro-écologie dans les politiques publiques.

Dans son mot introductif, le Secrétaire général du ministère de l’Agriculture, des Aménagements Hydro-agricoles et de la Mécanisation du Burkina Faso, Dr Lamourdia THIOMBIANO, a indiqué que cette conférence constitue une opportunité pour le Burkina Faso, engagé dans la prise en compte de l’agroécologie dans ses politiques agricoles.

Le correspondant national de l’agroécologie, Adama SAVADOGO, a relevé l’existence de concertations avec les acteurs qui ont défini une vision consistant à faire de l’agroécologie le moteur d’une production agro-sylvo-pastorale écologique, durable, compétitive, créatrice d’emplois et assurant la sécurité alimentaire à l’ensemble de la population. M. SAVADOGO a aussi évoqué l’élaboration en cours de la stratégie nationale de développement de l’agroécologie et de son plan d’actions.

Présentant les résultats d’une évaluation des approches agro-écologiques au Burkina Faso, menée par l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), Eugène RURANGWA, a relevé l’existence d’approches d’agroécologie intégrées incluant entre autres la maîtrise de l’eau agricole, la gestion durable des sols, la lutte contre les ravageurs, la pisciculture hors sols, la pisciculture intégrée au maraichage, l’élevage de la volaille associée à la pisciculture. Et de souligner que le Burkina Faso est un pionnier de l’agro-écologie en Afrique de l’Ouest. M. RURANGWA a aussi mentionné la diversité des définitions de l’agroécologie en fonction des acteurs. Mais, a-t-il précisé, elles se recoupent. Posant le diagnostic de l’agroécologie au Burkina Faso, il a identifié des forces : la volonté politique, le dynamisme et l’engagement de la société civile, le développement de technologies et d’approches par les acteurs à la base. Les faiblesses portent sur l’insuffisance de financement pour la recherche et la mise à l’échelle des actions d’agroécologie. L’étude a recommandé une meilleure organisation des acteurs pour améliorer la concertation et le partage des expériences et l’élaboration participative de la stratégie nationale de développement de l’agroécologie.

Les travaux de la conférence se sont poursuivis par des partages d’expériences et des échanges entre les participants.